L'image est la parole de notre inconscient

Au travers de ses images, Eric Mathy montre son amour du sujet photographié « sa destruction aussi et enfin, le regret de l’avoir détruit ». 

En utilisant la destruction de l’espace iconique traditionnel, Eric Mathy joue de l’ambiguïté entre ce qui semble et ce qui est. 

Frederic Karikese

Série 2008. Fragments et transformation. Le paysage inconscient

 

On peut parler de gauchissement nébuleux et morcellement d’image en variation de densités et d’extrêmes lumières. Eventail d’ambiances, de sensations… Cheminement lent, mesuré, palpable vers la quiétude… Incitation à la paresse et à la rêverie. En utilisant la destruction de l’espace iconique traditionnel, Eric Mathy joue de l’ambiguïté entre ce qui semble et ce qui est.

Galerie Monos Liège – 7 décembre 2008

Les ombres de mes songes ,rêves notés les matins ou les nuits de 2020.

La narration des transformations inconscientes.

Comment notre rationnel peut transformer ce qui nous anime dans nos profondeurs ?

Le New York de mes cauchemars. Né de voyages et de rêves new-yorkais.

« Il adorait New York.

Il idolâtrait tout cela hors de proportion. « c’était encore une ville  qui existait en noir et blanc.« Il était trop romantique à propos de Manhattan, comme il l’était pour tout le reste. « 

« Il a prospéré dans l’agitation, l’agitation de la foule et du trafic. « « Pour lui, New York signifiait de belles femmes et les gars intelligents de la rue qui semblait connaître tous les angles. « 

« Pour lui, c’était une métaphore,pour la décadence de la culture contemporaine qui transformait rapidement la ville de ses rêves… »

Manathan Woody Allen, script.

En construction …continue